Au début des années 1980, la plus grande crainte du Front Polisario a été que l’Algérie l’abandonne. En effet, le voisin de l’Est a adopté l’idée que le conflit du Sahara ne pouvait être résolu militairement et a commencé à se concentrer sur des issues diplomatiques au différend régional.
L'assemblée mondiale amazighe se mobilise à nouveau sur le conflit entre Touaregs et l'armée malienne. Elle fustige le role de Bamako mais aussi Alger dans ce qu'elle nomme «un génocide des populations azawadiennes».