Dans son dernier rapport, la Banque mondiale préconise de taxer les aliments trop gras, trop sucrés et trop salés, et plus seulement les boissons. Au Maroc, la sensibilisation et l’éducation au «bien manger» demeure timide.
Le Maroc est classé premier dans les pays de la région MENA pour l’indice «Femmes, affaires et droit 2020» publié par la Banque mondiale ce mercredi. Mais placé dans son contexte international, ce classement révèle que le royaume doit encore enregistrer des avancées significatives pour atteindre le podium mondial.
Malgré une économie mondiale au ralenti, la Banque mondiale dit prévoir une légère hausse pour l’année en cours. Concernant le Maroc, l’institution financière salue les réformes entreprises mais appelle à plus d’efforts pour les PME, tout en rassurant quant à l’activité du secteur touristique.
La Banque mondiale a publié ce jeudi l’édition 2020 de son «Doing Business». Un rapport annuel qui évalue les réglementations qui renforcent ou limitent l’activité des entreprises, et dans lequel le Maroc passe de la 60e à la 53e place, s’approchant davantage du top 50.