J'ai 18 ans et j'attend un bébé depuis 7 semaines mon copain et moi somme d'accord pour le garder même si c'était une fournication dont on c'est repenti, après 3 ans de relation nous envisageons une union d'ici la fin de cette année mais nos parent nous demande d'avorter et de reporter notre union a la fin de l'an prochain. Besoin de conseil mes sœurs
c'est encore un pêcher majeur.... cet enfant est éternel même si tu le tue, tu auras des comptes à rendre ainsi que ton copain...alors n'avortes pas. tu ne dois pas obéissance aux parents lorsqu'ils t'entrainent vers une désobéissance au Divin.
par contre, est-ce qu'il est possible de hâter le mariage? renseigne-toi car il me semble que la dame doit accoucher avant de se marier, mais pose la question à un imam.
Lol garde le tu c'est les fille comme moi qui voulons un enfant depuis au moins 4 ans sa me fait râler mal grès moi même si je c'est que c'est pas bien .... Garde le un conseil c Allah qui en a décidé ainsi ...
Leur chantage m'angoisse c'est soit j'avorte et je reste chez mes parents soit je le garde et la je suis a la rue. On vit tout les deux chez nos parents pour le moment
deja,il n est pas posssible d avorter contre sa volonté...personne ne va te ligoter sur une table si tu a recours à l avortement, c est qu au final tu l as décidé
7semaines...49j...délai légal islamique dépassé...allahoualam celle qui portera ce péché et devra en répondre sera toi...nullement tes parents [albadil.edaama.org]
j ai lu ton post par rapport au mariage,et aux voeux de vos parents
je crois que tu devrais garder à l esprit que devant Allah tu es responsable de tes actes...je t encourage à t en remettre à Ses prescriptions et non aux désirades de tes parents
n'avorte pas, mariez vous du moins civilement et vous ferez votre mariage religieux une fois que l'enfant sera né...C'est un crime franchement, les parents se soucient plus du quand dira t-on que de Dieu.
18 ans est enceinte d'une relation haram, sa dois pas être évident à vivre surtout chez nous ...repent toi. Qu'Allah te facilite.
Mais sache une chose est cela est uniquement mon point de vue, si tu es ma fille est que tu tombe enceinte dans le haram et même si tu te repent je te fous a la porte. On a trop de fierté les arabes tes parents sont sympa sur ce coup.
Je sais que ça va choquer du monde, mais c'est plutôt normal que tes parents te demande d'avorter, tu as 18 ans et tu es encore étudiante. Un enfant c'est quelque chose de grave et c'est pour la vie, je pense que par leur réactions tes parents veulent te protéger, au-delà du "qu'en dira-t-on ?," ils veulent que tu puisses avoir une meilleure vie.
Franchement, ils ne devaient surement pas imaginer leur fille enceinte à peine majeur alors qu'elle fait des études vivant sous leur toit avec son fiancé. Ils avaient surement de meilleurs aspirations pour toi, comme te voir étudier avoir un travail puis enfin te marier et avoir des enfants. Enfin, tu as fait les choses dans le désordre.
Après, l'avortement est un péché et un choix difficile et lourd de conséquence. Bref, tu as commis une erreur et tu en paies les conséquences maintenant.
Je dirais qu'il s'agit d'une situation délicate,
Ca va être difficile en plus vu que tu vis chez tes parents avec ton fiancé, je présume que c'est tes parents qui vont devoir subir les conséquences de ton choix en prenant en charge ton enfant que se soit en terme de temps ou financièrement (vu que tu es étudiante). En plus, je pense que tu as conscience que désormais tu ne peux plus te projeter dans le même avenir qu'avant, tu ne pourra plus autant te consacrer à tes études, donc se sera plus délicat de réussir ces examens, tu ne pourras plus voir tes amies comme tu veux, se sera également plus difficile pour décrocher ton premier travail, ou pour passer ton permis, car financièrement et en terme de temps tu auras ton enfant à gérer en priorité.
Bref, au final je dirais que la réaction de tes parents est justifiée justement par le fait qu'il s'agit de tes parents, mais malgré tout, désormais cet enfant est là, et il n'y a point d'obéissance dans la désobéissance envers Dieu, donc à mon avis tu devrais le garder et donc assumer pleinement tes actes. Dans tout les cas, un enfant reste toujours une ballaka.
Après, si tes parents vous mettent dehors, tu n'auras pas d'autre choix que de chercher un travail avec ton fiancé, et donc fini les études et la vie confortable chez papa/maman et bonjour, les factures, le loyer, le fait de s'avoir à charge et d'avoir quelqu'un en charge. Le risque est que tu en veuilles inconsciemment plus tard à ton enfant en te disant que tu as gâché ta vie et ton avenir à cause de lui.
Dans tout les cas, tu devras subir pour toujours les conséquences de cet acte, mais kreil inchallah, si tu regrettes sincèrement et que vous vous êtes repenti, j'espère que Dieu vous viendra en aide.
@Proud Salam Tu dis que tu l'as mettrai dehors même si son repentir est sincère, même Dieu qui est au-dessus de tous accepte le repentir lorsqu'il est sincère. En fait, tu ferais ce choix par fierté, et peur tu qu'en dira-t-on, n'est-ce pas ? Tu devrais te demander quel choix Dieu aimerait que tu fasses, non ? Tu sais très bien à quoi tu condamnerais ta fille en la mettant dehors dans un tel contexte, n'aurais-tu pas peur de devoir assumer cela ? L'approbation de Dieu est bien meilleur que celle des gens. Enfin, dans tout les cas, c'est une situation bien difficile. Pour ma part, je ne sais pas ce que je ferais si j'avais un enfant dans cette situation, mais je dois être honnête, l'idée de l'avortement me traversait l'esprit, car comme indiqué plus haut je ne voudrais pas qu'elle "gâche" son avenir, l'idée de lui demander de le faire adopter aussi. C'est une situation bien compliquée. En fait, il y a peut-être pas de bonne solution
Modifié 3 fois. Dernière modification le 22/11/14 23:34 par Tan33.
Pourquoi faire un imam ? On sait tous que c'est hram d'avorter.
Salam,
Je trouve que c'est un bon conseil, l'interdiction de l'avortement n'est pas une interdiction absolu en islam contrairement à d'autre religion. Mais les causes permettant l'avortement, en particulier quand le fœtus est âgé de moins de 120 jours sont discutées. Parmi elles, certains savant invoquent l'état de grande nécessité, est-ce que le fait de se retrouver dehors l'a met dans ce cas ?
On ne sent aucun signe de regret dans ton message! est-ce que t'as pensé à te repentir???
Le statut de l’enfant illégitime en islam Question :
L’enfant né hors mariage, d’une union illégitime, peut-il être affilié à son père ? Et quel comportement adopter envers lui ?
Réponse :
Louanges Allah Seigneur des Mondes.
Compte tenu du libertinage qui s’est répandu un peu partout (et qui est protégé par les lois et les régimes du Droit positif), beaucoup de jeunes hommes, à une étape ou une autre de leur passé (jâhiliyya) [1], ont entretenu des relations illicites et extraconjugales avec certaines femmes. Puis, de cette union illicite, naît parfois un enfant. Mais souvent, les signes du regret et du repentir apparaissent par la suite et l’inconscience du passé cède alors place à la réflexion. L’homme voudra poursuivre sa vie avec sa partenaire dans un cadre licite, alors qu’ils ont déjà eu des enfants ensemble… A qui ces derniers sont-ils affiliés et quels sont leurs droits ?
La réponse est que les enfants qui sont le fruit du zinâ (la fornication) ne s’affilient pas à leur géniteur. Légalement, il n’est pas leur père et ce ne sont pas ses enfants. Aucun des deux n’a de droit successoral sur l’autre. L’enfant naturel est affilié à sa mère en vertu de la grossesse et de l’allaitement. Dans un hadith, il est dit : « L’enfant appartient au lit et le fornicateur (al ‘âhir) reçoit la pierre ». [2]
‘Abdullah Ibn ‘Amrû rapporte qu’un jour, un homme se leva et prit la parole en disant : « Ô Messager d’Allah, untel est mon fils, j’ai forniqué avec sa mère dans la jâhiliyya (période antéislamique)». Le Prophète (salla Allahu ‘alayhi wa sallam) déclara alors : « Nulle prétention [de paternité] en islam, ce qui avait cours dans la jâhiliyya est révolu. L’enfant appartient au lit [3] et le fornicateur (al ‘âhir) reçoit la pierre » [4]. (Cela signifie que l’enfant [naturel] est affilié à sa mère compte tenu de la grossesse et de l’allaitement. Quant à l’enfant d’une femme mariée, il appartient au mari qui partage son lit).
L’expression : « et le fornicateur (al ‘âhir) reçoit la pierre » a été commentée par Ibn Hajar dans « al Fath » (12/37) en ces termes : « Cela signifie que le fornicateur reçoit déception et privation. Sa déception est qu’il sera privé du droit de paternité sur l’enfant qu’il prétend être le sien. Les Arabes avaient comme habitude de dire au sujet de celui qui faisait l’objet d’une déception : « Il reçoit la pierre, sa bouche s’emplit de pierre et de terre » ».
Le Prophète (salla Allahu ‘alayhi wa sallam) a donc décrété qu’un enfant mis au monde par une femme [esclave] laquelle n’appartient à aucun homme ou par une femme libre qui a forniqué, n’est pas affilié à son géniteur et n’hérite pas de lui, car c’est un enfant du zinâ. [5]
Cela ne signifie pas pour autant que l’enfant naturel doive être maltraité, car il est innocent de tout cela. Il n’est ni permis ni concevable qu’il soit doublement pénalisé: d’abord parce qu’il serait né d’un père illégitime et qu’ensuite on le maltraiterait, lui faisant ainsi payer une faute qu’il n’a pas commise. Allah dit : « personne ne portera le fardeau (responsabilité) d'autrui ». [6]
Le Prophète (salla Allahu ‘alayhi wa sallam) a dit : « Nul n’est tenu responsable pour le crime de son père ou de son frère » [7]. Selon une autre version : « Nul n’est tenu responsable pour la faute de son père ou de son frère ».
En fait, ce qui s’impose en tel cas est de bien traiter cet enfant, d’être bienfaisant envers lui et d’essayer de combler le manque qu’il ressent à cause de la relation illégitime de ses parents. A cet effet, il n’est pas nécessaire de l’informer qu’il est né d’une telle union, notamment si cela risque d’aggraver sa douleur, sa tristesse et son angoisse, si cela est susceptible d’être source d’ennuis pour lui et lui vaut d’être rejeté auprès de ses semblables et au sein de la société où il vit. Cela dit, il n’héritera pas de son père contrairement à ses frères nés d’une union licite, mais il héritera de sa mère comme nous l’avons précisé précédemment en abordant la question du li’ân.
Même si ils te mettent a la porte garde le y'a pleins d'aide pour une femme enceinte ils sont obliger de te faire une prise en charge va a l'hôpital dis leur que ta nul part ou aller ils sont obliger de te garder et d'ensuite te trouver un centre maternel le temps que tu te refasses
C'est vos parents respectifs ou seulement une partie qui optent pour le pêcher ? vos parents pensent à ici et oublient l'autre monde à moins qu'il soient athées ou modernes ? pensée pareille dans l'islam surtout si vous vous cotoyez depuis trois ans avec l'accord de vos familles.
Salam Va voir une assistante sociale, explique lui la situation, demande un logement social en urgence, il existe des aides pour payer la caution du logement, l'AS pourra te renseigner. Tant que te sera sans revenu, avec un enfant, tu aura droit au RSA, à l'aide au logement, à une aide financière Pour faire quelques achats pour accueillir ton bébé, et à une petite allocation mensuelle jusqu'aux trois ans de ton enfant. Si tu commence en bas tu ne pourras que évoluer vers le haut à l'avenir inch'Allah.
Aussi d'ici la naissance de ton bébé tes parents auront peut être digéré l'affaire et accepteront peut être de te garder chez eux le temps que tu trouves tranquillement un logement et que ton copain (qui sera bientôt ton mari je l'espère) trouve du travail.
Cet enfant c'est la chair de ta chair,il est arrivé un peu à l'improviste, qadar Allah, prend tes responsabilités, vous avez été capable de le concevoir, montrez vous capable de vous en occuper et de prendre vos responsabilités.
tes parents sont sympa sur ce coup. 
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dans l'islam surtout si vous vous cotoyez depuis trois ans avec l'accord de vos familles.
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