L'autre jour, un chat miaulait devant ma porte-fenêtre. Il avait faim, pauvre. Quand j'ai ouvert, il est venu jusqu'au rebord de la porte-fenêtre, l'air de regarder à l'intérieur s'il y avait quelque chose à grailler. J'étais chokbar.
Malheureusement, il n'y avait rien pour lui. Ni croquette, ni pâté, ni viande, ni poisson. J'étais très embêté. Puis, un éclair perça l'obscurité de mes pensées, un flash de lucidité : j'avais des œufs en quantité, pondus par des poules ayant accès au plein air. Je pris alors une assiette pour lui casser un œuf dedans. Il s'est régalé.