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LEMCHAHEB LE RETOUR
M
1 novembre 2006 00:04
spinning smiley sticking its tongue out salut à tous les mchahbia

je voulais savoir si le concert qu'ils ont donner recemment dans l'est de la france etait bien et comment vont les tri-m'chahebis. ça fait un moment, même le bloglemchaheb s'est endormi sur ses nouveaux chapitres d'explication de texte.et meme des photos de fane de la star'ac j'y crois pas!!
alors n'hesitez pas à nous ballancer tous les sites qui diffusent la sica di la marroca des ssana soixentdixxa dy lamchahbis por favora.et que les ex futurs m'chahahebi ma lance la premiere pierre.
M
1 novembre 2006 14:11
a
1 novembre 2006 16:45
a salamo 3alaykom...... ana a9tarih an takona alma3lomat motabadala wa atahada kola mchahbifi an yatawafara 3ala ma3lomat 3ani lamchahab fakola asrar almajmo3a atawafaro 3alayha bi adalail wa alhojaj wahada natijata bahtin dama 18 3am
f
1 novembre 2006 19:26
Faites une recherche sur ce site avec le mot clef= lemchaheb.

Les fans d'el mchaheb et d'el ghiwane sont toujours ici, et je m'honore d'etre l'un des leurs.
Willi ma cheftouni rahmou alyia Wana rani machit, wana rani mchit wel houl eddani Fathi .... dima ghiwani
M
1 novembre 2006 22:24
oui a si fathi, je sais le forum lemchaheb avait atteint le record de visite et de nombre de messages de tout les forums de yabiladi, plus de mille mesages sur 30 pages le moderateur a fini par verouiller parce qu'a la fin ça tournait en rond. mais comme le groupe tourne encore j'ai eu envie d'en reparler en esperant qu'il fasse un cancert bientot sur paris avec le retour tant attendu de soussdi qu'est ce que tu en pense awârmchahebide casa?
h
4 novembre 2006 22:47
h
4 novembre 2006 22:47
l
5 novembre 2006 12:57
salut tout les mchahebists je charche comont telecharger les video de le site[www.youtube.com]
h
6 novembre 2006 15:25
Wow, je n`ai jamais su qu`il existe un groupe musical meme mieu que Lamchaheb et elghiwan ... le group larsad de Marrakech, meme si ce groupe etait pas tres connu mais c`est vraiment des tres belles chansons, ecoutez et juger vous meme: site aitOurir :groupeLarsad
M
6 novembre 2006 20:58
je connais bien larsad ils habient pour la plupart l'kasba un quartier pas tres loins de celui ou j'ai grandi et je peux te dire que ce sont des eleves d'lemchaheb qui ont assez bien muri mais ils leurs manque la magie de lamrani sur sa modoline unique, les trips de sousdi, chadili ou hamadi et la profondeur de mohamed batma pour egaler les maitres. ceci dit larsad maintienent une certaine releve puisque d'autre eleves des mchaheb comme assiham virer dans la soupe chaabi populaire apres pourtant une periode, (3,4 albums) d'une grande sesibilité.
merci a tout les amis de lemchaheb qui en parlent.
l
7 novembre 2006 10:06
salut marracchi je suis hakim yyyyyy tabarkalah alik wache matabat lina votre mail pour contact avec toi asque tu conné larsad parsonnele ,allah aykhalik salm alihom basaf mon mail [email protected]
p
27 novembre 2006 10:42
bonjour le samis,
je voudrais saluer tt le monde et attirer votre attention sur une chanson de notre grande artiste Latifa Ra'fat, chanson tres belle d'ailleur et qui resemble bizarement à Hakmet la9dar de nos amis Lemchaheb. Je parle de la chanson "Twahachtek bezzaf baghi nchoufek". Je me trompe peut être mais dites moi n'y a-t-il pas dedans la mélodie de hekmet le9dar?
a
28 novembre 2006 00:24
Ya un virus dans le site de Nass elghiwane attention a vous ne clikez pas deçu
f
28 novembre 2006 19:08
Quel site ? le nom du site ? car il y en a plusieurs.
Merci.
M
1 décembre 2006 15:38
Chérif Lamrani et Mohamed Batma,
deux légendes du rock marocain (DR)
Le premier groupe de rock marocain (maghrébin) a perdu son fondateur, Moulay Chérif Lamrani, et une partie de son histoire chère à des générations de Marocains.


L'histoire de Lemchaheb est née autour d’une table de "La Comédie", célèbre café du centre-ville de Casablanca, en face du défunt théâtre municipal. C’est là que Moulay Chérif Lamrani vient trouver le régisseur de Nass El Ghiwane, un certain Mohamed Bakhti, et lui demande : "Je sais que tu as bossé avec les Ghiwane, on veut monter un groupe comme eux,
aide-nous". Nous sommes en 1973, en pleine explosion de la pop marocaine autour de Nass El Ghiwane. Moulay Chérif Lamrani, 24 ans à l’époque, est un musicien accompli. Originaire de Boudnib (comme le général Oufkir dont il disait, pour plaisanter, qu’il était "un cousin oublié"winking smiley, le musicien doit beaucoup à son père, Mbarek Boudnibi, connu pour avoir longtemps dirigé un orchestre à Oran. Dès ses débuts, Moulay Chérif reprend la mandoline de son père, en allonge le manche et conçoit ainsi un instrument unique au monde : sa mandoline à lui !
Chérif, qui a un faible pour les frères Mégri alors en plein boom, est imbibé de musique algérienne (sa mère est Algérienne). Pour l’épauler, il s’appuie sur les textes d’un ami, Mohamed Boulmane, instituteur à Hay Mohammadi (et ancien gardien de la fierté du quartier, l’équipe du TAS), connu pour sa grande culture. À eux deux, ils ont écrit et composé une première démo, accompagnés d’un certain Boukili d’Oujda et de Larbi Kessa au bendir. L’enregistrement, fait dans des conditions artisanales, est présenté à Bakhti. Le verdict tombe comme un couperet : "C’est intéressant, juge l’ancien régisseur de Nass El Ghiwane, mais pour avoir le succès des Ghiwane, il vous faut d’autres musiciens et des chanteurs". Moulay Chérif retourne à son quartier, le Belvédère, et à son boulot, à Carnaud, où il est dessinateur. L’affaire est entre les mains de Bakhti qui cherche de nouvelles têtes pour accompagner le prometteur Moulay Chérif et mettre en valeur les textes de Boulmane.
Bakhti, un instituteur de 37 ans, a un immense avantage. Il dispose d’un local aux Roches-Noires, où bien des groupes sont venus répéter, voire habiter quelque temps. Après les Ghiwane, il avait pris sous son aile Tagadda dont faisait partie Mohamed Batma, le frère de Larbi. Bakhti auditionne d’autres groupes de passage à Casablanca et finit par dénicher la perle rare : les Tyour Ghourba (oiseaux de l’exil), originaires de Marrakech. Le groupe est composé des deux frères Bahiri, Ahmed et Mohamed, anciens de la troupe de Hamid Zahir, et d’une jeune fille de 15 ans, Saïda Birouk. Les Tyour Ghourba tournent en rond et n’arrivent pas à trouver un producteur pour les enregistrer. Ils sont en quête, eux aussi, d’un nouveau groupe où ils pourraient s’intégrer. Bakhti les présente à Chérif qui leur fait subir un "examen" musical et l’affaire est conclue. Mais il restait un problème : Saïda. "Il a fallu monter chez sa famille à Marrakech pour leur expliquer que Saïda fera carrière d’artiste à Casablanca, se souvient Mohamed Bakhti. Je me suis personnellement porté garant de sa sécurité et de sa bonne éducation". La jeune Saïda habite chez la famille Bakhti aux Roches-Noires. Chérif, après avoir testé les noms de "Khatoua khatoua (pas à pas)" et "Les étoiles filantes", finit par se fixer sur Lemchaheb, ou les barres rougeoyantes sur lesquelles on cuit le pain dans le four traditionnel. En 1973, le groupe, composé de Chérif, Saïda et les frères Bahiri (en plus de Bakhti, le manager) voit officiellement le jour. Il signe chez Barclay, alors en prospection au Maroc et entame ses premiers enregistrements (Al-Khyala, Bladi, premiers classiques). Chérif dessine les célèbres costumes qui signent le look du groupe, sa mère les découpe. Nous sommes en 1974, c’est le temps des premières prestations scéniques. Les affiches sont conçues par l’omniprésent Chérif, qui n’a rien perdu de son talent de dessinateur. Après une première tournée européenne pour le compte de la RAM (où le groupe encaisse 700 DH par soirée, en plus d’un défraiement quotidien… de 10 francs), Lemchaheb passe aux choses sérieuses : la scène casablancaise. Comme les Ghiwane quelques années auparavant, l’examen de passage de la bande à Chérif a lieu au cinéma Saâda, qui tient aussi lieu de salle de spectacle au Hay Mohammadi. 300 fans sont au rendez-vous. Le deuxième concert, à l’autre salle mythique de la ville, le Kawakib à Derb Soltane, élargit le premier cercle des aficionados. Lemchaheb s’est fait un nom, même si la RAM, qui les intègre dans une nouvelle tournée promotionnelle en Europe, les engage en tant que "Nass El Mchaheb".
Malgré le succès grandissant, Chérif est le premier à comprendre les limites du groupe. "Il nous faut de nouvelles gammes vocales, nous n’irons pas loin dans notre configuration actuelle", confie-t-il au fidèle Bakhti. Les frères Bahiri sont évincés suite à un différend personnel (le groupe tient régulièrement des conseils d’administration pour sanctionner les écarts de discipline !) et partent fonder, de leur côté, le groupe Lajouad. L’excellent Boulmane, songwriter attitré du groupe, part à Marrakech où il deviendra, plus tard, l’un des meilleurs avocats de la ville. C’est la crise. Chérif "teste" alors un nouveau-venu : Mohamed Batma, ancien de Tagadda, admirateur de Lemchaheb (et de Saïda plus particulièrement), depuis qu’il a assisté à leur premier concert au cinéma Saâda. Batma abandonne son boulot de cheminot et intègre ainsi le groupe dont il enrichit le répertoire avec le superbe "Amana". Tournant désormais à trois, Lemchaheb prospecte de nouveaux musiciens pour remplacer les frères Bahiri. Encore une fois, le salut vient de "La Comédie", où Bakhti, fidèle client, déniche quatre nouveaux talents : Mohamed Sousdi, Mobarak Jadid (dit Chadili), Saïd Bouqal et Hamid Tchika. Les quatre musiciens reviennent d’une tournée calamiteuse en France et cherchent à se relancer. Ils sont présentés à Chérif qui les "teste" et garde les deux premiers : Sousdi et Jadid-Chadili. L’un est un pur produit du Hay, épris de musique algérienne, avec un registre de voix aiguë rappelant le célèbre Boujemia. L’autre est un véritable poète hassani, originaire de Zagora. La combinaison est parfaite : Sousdi apporte le mémorable Al-Hasla, Chadili vient avec Ettaleb et Hab Erramane. Le groupe, qui tourne désormais à cinq unités, enregistre de nouvelles bandes dans l’arrière-boutique d’un atelier de cordonnerie tenu par un certain Abderrahmane Alami. Le résultat est remarquable. Lemchaheb repart en tournée. Mais Saïda, entre-temps marié à Batma, tombe enceinte et le groupe, à l’unanimité, choisit de l’écarter. Nous sommes en 1975. Lemchaheb, avec une poignée de chansons, est devenu le rival le plus sérieux des Ghiwane, loin devant Tagadda ou Jil Jilala. Dans le nord du pays, mais aussi chez les voisins algériens, ils sont fameux. C’est la période faste de Lemchaheb qui les emmène aux quatre coins du royaume (Sahara compris), dans les pays du Maghreb et en Europe. Leur potentiel devient encore plus fort avec l’arrivée, courant 1976, de l’excellent Mohamed Hamadi, ancien de Nouass Al-Hamra, un groupe marrakchi. La configuration est définitive, les cinq talents qui composent le groupe se lâchent complètement, toujours sous la direction du "médium" Chérif et du réaliste Bakhti, l’homme de l’ombre. Les textes se politisent. Batma, sur l’indémodable Daouini, pousse le luxe jusqu’à détourner le final, "wahaïdouss" devenant malicieusement "wahaïdouh" ("virez-le", allusion directe au roi dont la popularité, à l’époque, était au plus bas). Le couplet devient d’ailleurs un hymne underground. Le même Batma, sur Khiyi, se fend d’une étonnante intro : "Youmek jak… Hak hada ma souiti" (ton heure est venue, voilà ce que tu mérites). Sur scène, la deuxième partie du couplet est accompagnée d’un retentissant "doigt d’honneur"...
La décennie des années 80 sera celle de toutes les expérimentations. Chérif et Chadili tentent un "mariage" musical réussi avec les Allemands de Dissidenten. Lemchaheb investit dans un studio, Zeryab, qui se transforme en gouffre financier. L’unité du groupe en prend un coup. Chérif, notamment, multiplie les voyages, allant jusqu’à s’installer, de longues années durant, en Tunisie. Sans son maître à penser, le groupe perd de son impact, se contentant de puiser dans son propre répertoire. Ce déclin sera confirmé dans la décennie suivante avec le départ du fédérateur Bakhti, qui plie bagages et s’installe aux États-Unis. C’est le coup de grâce. Lemchaheb recolle les morceaux quand Bakhti rentre au pays, en 2002. Mais le cœur n’y est plus. Batma, longtemps malade, a quitté ce monde dès 2001. Les autres membres ont pris de la bouteille. La crise d’inspiration affecte plus encore Chérif qui cherche désespérément à se renouveler et va jusqu’à créer un groupe parallèle, Lemchaheb music, sans relief. Trop tard. Pour l’anecdote, Lemchaheb se retrouvera au complet le 16 mai 2003 au complexe Sidi-Belyout, au moment même où des explosions embrasaient le ciel de Casablanca, quelques mètres plus loin. Chérif jouera une dernière fois sur scène (avec son nouveau groupe) en juin 2004 pour la fête de la musique. Saïda, après une éclipse de près de 30 ans, remontera également sur scène avec Sousdi, Hamadi et Chadili. Mais le train est passé. Chérif meurt le 20 octobre d’un cancer digestif. Sa fameuse mandoline, qui a composé tant de chefs-d’œuvre, est déclarée "objet perdu" depuis...

Care to comment?
M
3 décembre 2006 13:03
L'article ci-dessous repond au texte en arabe affiché sur l'ex bloglamchaheb qu'on voulait reunificateur de tout ce qui conserne la vie de lamchaheb et leurs oeuvres, je remarque qu'il est maintenant reduit au minimum et se propose de poser aus fanes des questions dont les reponses se trouvent dans plusieurs textes publiers sur lemechaheb et qui devaient se trouver justement sur le blog.je compreds pas qu'on m'explique clairement le but de l'opéreration et aussi pourquoi la page d'acceuil actuel qui doit normalement s'ouvrir le concert des dessedenten chantant lemchaheb, renvoit automatiquement a de la BuP.
je sais que les blogs ça peut genérer des profits en joingnant l'util à l'agreable. mais Mr. SOUSDI lui meme à mis en garde, dans un poste qu'il a envoyé ici et qui est repértorié d'ailleurs dans le blog, contre l'utilisatioon detourée du nom LAMCHAHEB.

Cela etant dit, je proposais de continuer à echanger sur la musique mchahebia qu'on aime bien. et je salut hakim lamchahebi qui revenu ainsi que Piscou52 a qui je demande ou peut- on ecouter Ra'fat pour voir la similitude avec lemchaheb.
p
4 décembre 2006 10:11
Bonjour M'rrakechi,
effectivement la ferveur et l'engouement qui prédominaient sur ce furom ont disparu, mais nos convictions ne le sont pas pour autant.
Concernant la chanson de Latifa Ra'fat ( Twahachatek Bezzaf baghi Nchouek) je l'écoute sur les ondes radio (radio 2M, Cas FM...) même qu'elle est passée une fois ou deux sur la TV 2M.
t
9 décembre 2006 22:47
Salut :
Merci Merrakchi pour l'interet que vous accorder aux fans de Lemchaheb , on a tous crus que notre souffle s'est eteint par la disparition de notre précieux forum qui a fait des merveilles , mais il ya tjs qqu'un qui tien bon le flambeau de Lemchaheb et des M'chahbia et cette fois ci c'est toi Merrakchi ,Merci encors une fois .
l
10 décembre 2006 09:42
salut taille ,maracchi je sait que jamel a etait a saiida , marakchi je besoin des foto de lersad et une soiré de larsad svp mon mail c'est [email protected] merci
t
10 décembre 2006 20:52
Salut :
Alors tu est Hakim , tu a changé ton pseudo , excuse moi comment va tu? , effectivement Djamel a passé 3 jours chez moi , il est merveilleux avec le mondole , vraiment exceptionnel , on a fait une répitition ensemble à Saïda c'était que de Lemchaheb avec un peu de Larsad surtout Chaouwada .
A Bientot
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